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Les différents types de placements financiers avec Créditis Finance

Définition générale : un placement financier se traduit littéralement par la détention d’un actif financier, transmissible et négociable, qui est susceptible de procurer à son détenteur des revenus, moyennant la prise en compte d’un risque.

Créditis Finance vous propose une stratégie sur le long terme afin de répondre à divers objectifs :

Audit et conseil aux entreprises (optimisation des charges)

Financement des projets et gestion financière (développement de votre exploitation et croissance d’activité)

Suivis et gestion des investissements/placements et collecte d’épargne

Créditis Finance peut donc vous proposer une stratégie sur-mesure à effet de levier pour le placement/investissement de vos actifs à long terme :

Nous pouvons distinguer quelques grandes catégories de placement :

Bancaire

Valeur refuge

Immobilier (placement stratégique)

Créditis Finance. Et si on rendait la finance passionnante ?

Les placements bancaires

1) Les actions cotées et non cotées

Ce sont des titres de propriété qui correspondent à une partie du capital d’une société. Ce type de placement est risqué mais l’investisseur est néanmoins limité en perte à son apport initial.

Un suivi permanent du cours des actions est nécessaire car la valeur de l’action s’apprécie en fonction des perspectives de bénéfices et de développement  de l’entreprise. Le principe  est le même pour les actions cotées que pour les actions non cotées à la différence que le risque est encore plus grand pour les non cotées même si l’espérance de gain dans ce cas là peut être très grande.

Les revenus français et européens  appelés dividendes sont imposables en France à l’impôt sur le revenu. Les plus-values sur cession d’action sont elles, imposées dès les premiers euros de cession. Dans les deux cas de rendement ci-dessus, le risque zéro n’existe pas et le barème d’imposition n’est pas forcément avantageux. Il existe cependant des régimes spécifiques d’imposition sous certaines conditions.

Acquérir des actions cotées est un placement financier risqué et dont la rentabilité peut s’avérer moindre que celle espéré  Quant aux actions non cotées, ce type de placement demeure très risqué mais peut offrir également de nombreux avantages fiscaux grâce notamment au lancement cette année du PEA-PME (Plan d’épargne en action) qui permet à vos plus-values d’être exonéré d’impôt, sous réserve de laisser vos titres 5 ans sur PEA-PME.      

2) Les assurances-vie en euros

Ces contrats sont littéralement des comptes d’épargne sans risque, car ceux-ci sont garantis dans leur fonctionnement par les compagnies d’assurance. Aucune limite au nombre de contrat, ni de versement n’existe, ce type de placement a donc vocation à être conservé plusieurs années pour à terme, se constituer ou valoriser un capital par des versements programmés ou libres. A ne pas confondre avec l’assurance-décès !

Cet investissement consiste à placer son argent dans le temps afin de se constituer un capital, optimiser sa fiscalité et à terme effectuer une transmission des capitaux, qui échappent à l’imposition des droits de succession.

Dans le cadre d’un contrat d’assurance-vie, les plus-values sont exonérées au-delà de 8 ans, dans la limite de 4 600 € pour une personne seule (9 200 € pour un couple marié).

En cas de décès de l’assuré, les droits de succession peuvent être en franchise dans la limite de 152 500 euros (en dehors du conjoint survivant, les droits de succession étant exonérés dans ce cas).

Les valeurs refuge

1) Placement OR

L’or est considéré comme étant une valeur refuge. Il s’agit plus d’un préjugé que d’une réalité. Peu sensible à l’inflation, l’or reste le placement favori des épargnants échaudés par des chutes boursières trop féroces, des crises financières non résolues.
L’or papier (titres sur les mines, ou fonds investis sur des valeurs or) n’est pas considéré comme une valeur refuge.

2) Placement sur le vin

Il faut savoir, qu’à l’instar des cours des actions en bourse, le cours du vin varie sur les transactions effectuées. Les cours théoriques des catalogues de grands crus ne sont pas le reflet de la réalité, tant qu’aucune transaction récente n’est effectuée.

Cependant, pour les personnes désirant se constituer une cave "spéculative" il est important de noter que le placement sur le vin est un placement de long terme avec un marché volatile qui dépend beaucoup de la demande étrangère.

3) Placement œuvre d’art

Il existe deux moyens d’acheter et de vendre une œuvre d’art : le gré à gré (entre particuliers) et dans le cadre de ventes aux enchères. L’achat/vente de gré à gré s’effectue auprès de particuliers ou de professionnels (marchands d’art, antiquaire, brocanteur, galeriste).

Les achats/ventes réalisés entre particuliers n’appellent pas de frais particuliers. Seules les ventes aux enchères entraînent des frais équivalent à un % du prix de vente. Ces frais sont libres et fixés en général entre 11 % et 20 % du prix d’adjudication. Le vendeur quant à lui paye des frais de rachat d’un montant de 3 % l’enchère finale lorsque le prix de réserve n’est pas atteint. L’objet lui est alors restitué. Seules les ventes de biens d’exception d’une valeur supérieure à 5 000 € sont soumises à une taxe forfaitaire de 6% calculée sur le prix de vente pour les bijoux, œuvres d’art ou antiquités.

Du point de vue fiscal, il est possible d’opter pour le régime d’imposition des plus-values sur les biens meubles. Depuis 2014, après 22 ans de détention, la plus-value est exonérée d’impôt. Le taux d’imposition est de 34.5 % (dont 15,5 % de prélèvements sociaux).

Bien que les œuvres d’art n’entrent pas dans le calcul de l’impôt sur la fortune (ISF), l’ensemble des frais et impôts accolés à cet investissement le rendent moins intéressant que d’autres.

Placement immobilier :

Des placements à acquérir dans une logique de long terme

Le secteur de l’immobilier possède différentes niches fiscales qui vous permettent d’éternelle valeur-refuge, l'immobilier reste un actif tangible, qui vaudra toujours quelque chose, même en cas de krach de l'économie. Pour autant, c'est un marché cyclique, fait de hausses et de baisses. Mais sur le long terme (dix à douze ans), la pierre n'a jamais perdu de valeur. D'après notre indice, sur une base 1.000 au 1er janvier 2001, le prix des appartements atteint au 1er octobre 2010 2.089 points, celui des maisons 1.701 points. Sur le cycle précédent, ceux qui ont acheté au plus haut juste avant la crise de 1991 ont récupéré leur mise dix à douze ans plus tard.  

La rentabilité de l'investissement locatif varie de 3 à 7 % en général. Ce sont les petites surfaces qui rapportent le plus, compensant un risque plus élevé (changements de locataires et remises en état plus fréquents, probabilité supérieure de vacance locative, etc.). Pour les grandes surfaces, c'est exactement l'inverse.

Fiscalité et frais annexes

Les loyers sont soumis à l'impôt, plus précisément au régime des revenus fonciers en location vide et au régime des bénéfices industriels et commerciaux (les BIC) en location meublée. Certaines charges, comme les travaux et les intérêts d'emprunt sont déductibles des loyers lorsqu'ils sont déclarés au fisc. Dans le neuf, vous pouvez bénéficier d'avantages fiscaux comme la loi Scellier et ses variantes.

les dispositifs fiscaux les plus avantageux

> Duflot

La loi Duflot, mise en application depuis 2013, permet de réduire son impôt direct à payer, dans la limite de 6 000 € par an. La déduction d’une partie de ses revenus fonciers peut être effectuée via le déficit foncier, comme pour tout investissement immobilier locatif. Le dispositif Duflot impose un investissement locatif dans le neuf, sous plusieurs contraintes, dont certaines sont fortes (loyers soumis à un barème, etc.).

Peu d’outils de simulation réelle en libre-service existent. Notre site partenaire Borloo-de-robien.com, en propose un :  Simulation placement immobilier en Duflot

> Malraux

Rénover l’immobilier de qualité. Le dispositif Malraux échappe au plafonnement des niches fiscales. Ce dispositif permet de déduire de ses revenus imposables une quote-part du montant des travaux réalisés dans de l’immobilier classé.

Le dispositif Malraux donne droit à une réduction d’impôt calculée sur le montant des travaux de restauration engagés par le contribuable à hauteur de :

30% pour les immeubles situés en secteur sauvegardé

22% pour les immeubles situés dans une zone de protection du patrimoine architectural urbain ou paysager.

Le montant des travaux pour le calcul de la réduction d’impôt en loi Malraux 2014 est plafonné à 100 000 Euros par an.

La défiscalisation Malraux s’adresse depuis le 1er Janvier 2013 aux contribuables français qui investissent dans des appartements à rénover (logements destinés  à la location). Les travaux doivent aboutir à la restauration complète d’immeuble et la qualité du bâti est suivie par un architecte des bâtiments de France.

Les opérations en loi Malraux 2014 sont localisées la plupart du temps dans les centres villes historiques et offrent aux investisseurs une excellente opportunité de défiscalisation et une bonne protection à moyen et long terme.

Acheter en direct ou via des SCPI ou OPCI ?

Acheter de l’immobilier en direct, c’est investir un capital conséquent. Pour les épargnants souhaitant investir progressivement ou réduire les risques locatifs, acheter de l’immobilier via des parts de SCPI est pertinent. Avec un capital de quelques milliers d’euros (financé à crédit ou non), l’investisseur peut alors détenir des parts sur les différents secteurs de l’immobilier (bureaux, habitation, duflot, malraux, etc).

Pour choisir ses SCPI de nombreux sites existent, nous éditons de notre côté le comparatif des SCPI et également le guide des OPCI pour les particuliers.

 Les plus-values sur les ventes d'immeubles

Lors de la vente par la SCPI d’un immeuble qu’elle possède depuis moins de 22 ans (30 ans pour les prélèvements sociaux), la plus-value éventuellement réalisée est imposable. La SCPI étant transparente fiscalement, les porteurs de parts sont donc redevables de l’impôt sur la plus-value.

En ce qui concerne les particuliers détenant les parts dans leur patrimoine privé, l'impôt est prélevé directement par le notaire et la société de gestion de la SCPI. Les associés n'ont pas de règlement à effectuer.

Pour les porteurs de parts soumis aux régimes des bénéfices professionnels (BIC, BA ou BNC) ou de l’impôt sur les sociétés, la situation est différente. Ils doivent inclure dans leur déclaration de résultat la quote part de plus value qui leur est versée.

> Les plus-values sur les cessions de parts de SCPI

Lors de la revente des parts de SCPI, la plus-value correspond à la différence entre la somme provenant du produit de la vente et le prix d'acquisition des parts. Tout comme pour la fiscalité des biens détenus en direct, il faut tenir compte de l'abattement progressif.

En ce qui concerne les prélèvements sociaux l'exonération n'a lieu qu'à partir de 30 ans de détention.

Le taux d'imposition sur la plus value est de 19% et de 15,5% pour les prélèvements sociaux. Le montant de l'impôt sur la plus value est nul au delà de 30 années de détention.

On peut de plus bénéficier d'un abattement exceptionnel de 25 % sur les cessions réalisées entre le 1er septembre 2013 et le 31 août 2014. Il s'applique, après prise en compte de l'abattement pour durée de détention, aux cessions réalisées entre le 1er septembre 2013 et le 31 août 2014.

Cet abattement est applicable tant à l'impôt sur le revenu qu'aux prélèvements sociaux des plus-values immobilières. Il sera également appliqué à la surtaxe sur les plus-values élevées.


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